Certification QSE

Conférence de presse du 4 septembre 2014 pour la présentation de la triple certification QSE obtenue par la SAPHIR.

C’est devant près d’une centaine de personnes (invités et employés) que le Président de la SAPHIR, Jean Jacques VLODY, et le Directeur Général Philippe LORION ont rappelé le travail de longue haleine mené au sein de l’entreprise pour mettre en œuvre son Système de Management Intégré (SMI).

En effet depuis le mois de juin 2014, la SAPHIR peut s’enorgueillir de répondre aux critères demandés par les normes ISO 9 001, ISO 14 001 et OHSAS 18 001 soit respectivement pour les aspects Qualité, Environnement et Sécurité.

Rappelons qu’à ce jour, seules 4 entreprises péï ont obtenu cette reconnaissance gage de qualité et de performance.

Par ailleurs, Philippe LORION a également profité de cette occasion pour annoncer l’engagement de l’entreprise dans un Système de Management de l’Energie (SME) en vue d’une nouvelle certification ISO 50 001 en fin d’année 2014.

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D’autres photos de l’événement sont disponibles en cliquant sur ce lien.

Conférence Gaspipa’li gaspipa’lo

A l’approche de la période de sécheresse, les acteurs de l’eau lancent une campagne de communication à compter du 5 septembre 2014 pour sensibiliser les réunionnais sur la nécessité d’une utilisation raisonnée de l’eau.
La campagne Gaspipa’li Gaspipa’lo s’appuie sur la fine équipe de la Bande des Bons Tuyaux. Ces petits personnages drôles et attachants font la promotion de gestes simples, utiles et que chacun peut facilement adopter chez lui.

Chaque petit geste est important et, sans changer son confort quotidien, il est possible de faciliter la distribution collective d’eau et d’économiser des euros.

Retrouvez les conseils de la Bande des Bons Tuyaux dans leur chanson karaoké, leur affiche ou sur la page www.facebook.com/gaspipalo.

L’Agence Ouest fait peau neuve

Sous l’impulsion de la Direction Générale de la SAPHIR et après plusieurs semaines de travail réalisé en interne, le point de vente de matériel d’irrigation de la SAPHIR situé dans l’ouest (route de Villèle) a dévoilé sa nouvelle apparence le 26 août 2014.
C’est sous un temps menaçant voire humide que les aménagements réalisés ont été présentés à nos partenaires et clients par le Président et le Directeur Général de la SAPHIR, Jean Jacques VLODY et Philippe LORION.
Gageons que ce nouvel aspect, le totem de signalisation en bordure de route et le professionnalisme des équipes SAPHIR attireront des clients de plus en plus nombreux.
 
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Triple certification QSE pour la SAPHIR !!

Suite à un audit qui s’est déroulé du 22 au 30 avril 2014, la SAPHIR a obtenu tout récemment la triple certification QSE, Qualité, Sécurité, Environnement.

La SAPHIR s’est engagée depuis 2006 dans une démarche d’amélioration continue afin de satisfaire ses clients avec l’ISO 9001 (Système de Management par la Qualité – SMQ).
En 2012 une réflexion pour la prise en compte de l’aspect Environnemental a été engagée avec l’ISO 14001. Cette dernière a été complétée dès 2013 avec l’intégration de la formalisation de la protection des salariés (OHSAS 18001) dans le cadre de la mise en place d’un Système de Management Intégré (SMI).

D’après les statistiques de l’AFAQ, il n’y a à ce jour que 16 entreprises certifiées QSE à La Réunion. Sur ce nombre déjà restreint 4 seulement sont des entreprises péi parmi lesquelles se trouve la SAPHIR.

Discours de Jean-Jacques Vlody pour la visite de Michel Sapin

Monsieur le Ministre,
Monsieur le Préfet,
Monsieur le Sénateur-Maire,
Mesdames et Messieurs les Elus,
Mesdames et Messieurs les Administrateurs,
Messieurs les Délégués Syndicaux,
Mesdames et Messieurs,
Je suis très heureux de vous accueillir, Monsieur le Ministre, dans une entreprise qui, vous allez le découvrir, est une maison du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social.
La SAPHIR est une maison du travail parce que notre métier principal est d’apporter aux agriculteurs la première des matières premières dont ils ont besoin : l’eau. Même si celle-ci tombe du ciel, en quantité du reste irrégulière, seuls le travail de l’homme et les ouvrages qu’il construit permettent de la distribuer au bon moment et au bon endroit. J’ajouterais au bon prix, mais ce que paye l’agriculteur, ou les communes qui sont nos clientes, ce n’est pas tant l’eau elle-même, c’est le service de l’eau. C’est le travail des quelque 90 personnes employées par la SAPHIR qui mérite salaire.

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Je veux parler de tous ceux qui entretiennent nos 400 kilomètres de réseau, des ingénieurs, techniciens et agents de réseau qui en assurent l’exploitation et la maintenance, des chargées de clientèle qui connaissent chaque agriculteur, des monteurs en irrigation, etc.
C’est ainsi que la SAPHIR permet à quelque 5.000 exploitations du sud, réparties sur 8.000 hectares, d’exercer leur métier. 8.000 hectares, c’est un tiers de la surface agricole consacrée à la canne, donc grosso modo un tiers des 12.000 emplois que représente la filière canne à la Réunion sur les 22.000 emplois du secteur agricole. Et nous parlons bien d’emplois marchands, puisque l’industrie agro-alimentaire génère bon an mal an 1,2 milliard d’euros de chiffre d’affaires à la Réunion.
Donc, oui, nous sommes ici au service de l’emploi local et vous êtes bien dans une maison de l’emploi.
Vous êtes également, Monsieur le Ministre, dans une maison de la formation professionnelle. Parce que toute la gestion de la SAPHIR est axée sur l’accroissement et la capitalisation des connaissances au service de l’usager. Un chiffre seulement : nous consacrons en 2013 83.000 € à la formation du personnel, soit 1,7 % de notre masse salariale brute.
Il ne faut pas s’en étonner : l’eau, comme la connaissance, est un bien public, l’accès à l’eau comme l’accès au savoir doit donc être garanti par la puissance publique.
La Réunion s’est dotée et continue de se doter grâce notamment aux fonds de l’Etat, de l’Union européenne et du Conseil Général d’infrastructures hydrauliques majeures.
Imagine-t-on que de tels ouvrages, avec leurs interconnexions, bientôt leurs unités de traitement, puissent être conçus, exploités et maintenus sans une ambitieuse politique de transmission des savoirs ?
Au-delà de la formation initiale, je veux insister sur l’importance des savoirs pratiques, de ce qu’on appelle le savoir-faire.
Voilà un actif immatériel irremplaçable qui ne s’acquiert qu’avec l’expérience, sur le terrain.
Pour toute entreprise, identifier ces compétences, les développer et les transmettre, c’est simplement une question de survie. Laisser s’installer des monopoles techniques, des monovalences, c’est risquer la sortie de route.
La réponse à ce problème tient dans ce qu’on appelle GPEC : Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences.
Si l’appellation est technocratique, la réalité qu’elle désigne est essentielle : savoir qui détient une compétence-clé, qui est sur le départ, mettre en œuvre un système efficace de capitalisation des savoirs pour anticiper tout risque de perte de maîtrise, voilà l’enjeu pour une entreprise. En un mot, il faut gérer un actif immatériel et gérer le temps.

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En quoi les contrats de génération nous ont-ils aidés, puisque nous en avons signé 3 en avril et que nous allons de nouveau en signer 3 ?
En adhérant au contrat de génération, l’entreprise signale d’abord à son personnel et à ses partenaires sa volonté de contribuer à la solution d’un problème collectif d’une gravité sans pareille : le chômage des jeunes.
Elle exprime ainsi un choix stratégique, je dirais même identitaire. En clair que le chômage des jeunes la concerne directement, et qu’elle ne peut pas assurer son avenir dans une société qui n’en offre pas à sa jeunesse.
C’est en quelque sorte la dimension sociale du développement durable qu’elle revendique comme un avantage comparatif. Entreprise oui, mais citoyenne, c’est-à-dire solide et solidaire à la fois.
Solide, l’entreprise l’est en donnant à une organisation nécessairement tentée par la routine une nouvelle impulsion managériale.
D’une part le jeune se révèle au contact du senior, comme un élève au contact d’un maître. Bachelard disait : « le moi s’éveille dans la grâce du toi ». Autrement dit, nous aidons le jeune à se construire par des rencontres qui le révèlent à lui-même.
Du côté du senior, c’est le même processus : obligé de formaliser ce qu’il pratiquait instinctivement en étant mû par l’expérience, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, voilà qu’il doit décrire ce qu’il sait, donc organiser ses connaissances, les clarifier pour mieux les transmettre.
Quant à l’entreprise, elle doit mettre en œuvre un transfert de technologies pour être au rendez-vous de l’économie de la connaissance.
Il s’agit de faire l’inventaire de son patrimoine pour mieux le gérer.
Les contrats de génération sont donc utiles parce qu’ils incitent les entreprises à investir dans la connaissance qu’elles ont d’elles-mêmes, à inventorier leur patrimoine immatériel, à le protéger pour mieux le transmettre. Dans une économie de la connaissance, nos entreprises seraient plus riches si elles savaient tout ce qu’elles savaient.
Bien sûr, la SAPHIR a d’autres touches à son clavier : les apprentis, les personnels en contrat unique d’insertion que nous accueillons et formons à raison d’une cinquantaine par an dans chacune de ces catégories, les stagiaires, etc.
Notre budget annuel pour l’insertion au sens large est ainsi de 252.000 € en 2012, soit 5,5% de la masse salariale.
Vous l’avez compris, le domaine social est un domaine où nous sommes particulièrement actifs.
Et pour cause : dans un département où il existe 30% de chômeurs, une entreprise ne peut croître hors sol, ni devenir un îlot de prospérité dans un océan de précarité.
Elle doit aussi créer de la cohésion sociale, c’est en cela qu’elle est solidaire. Et cette cohésion est d’abord interne à l’entreprise.
A ce stade de mon propos, vous avez deviné, Monsieur le Ministre, que je vais vous introduire dans la maison du dialogue social.

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Je ne serai pas long sur ce thème, car le lieu où nous sommes parle de lui-même. Vous avez ici à la fois le chalet du comité d’entreprise, la cantine du personnel et un espace de réunion familiale où le personnel organise baptêmes, communions, etc.
Je citerai simplement le fait qu’en 2010, lorsqu’il a fallu redresser l’entreprise, l’ensemble du personnel et des syndicats a donné son accord au nouveau directeur pour porter la durée hebdomadaire du travail de 33 à 35 heures sans augmentation de salaire.
Ce que de grandes entreprises, comme Renault en France, viennent d’inaugurer sous le nom d’accord de compétitivité, la SAPHIR, à une échelle bien plus modeste, l’a aussi fait. En clair, se serrer les coudes en période de difficulté pour mieux résister collectivement, à condition que le personnel touche ensuite les dividendes de cet effort collectif.
Ce sont de meilleures conditions de travail, des créations d’emplois, comme aujourd’hui, etc.
Le personnel et les délégués syndicaux ici présents vous confirmeront que nous savons nous aussi fabriquer du consensus, inventer autre chose qu’une logique de confrontation.
Donc, sachons innover socialement sans renoncer à la compétitivité.
Certes, nous savons qu’il faut plus que les contrats de génération pour créer de l’emploi, il faut de la croissance. Mais à défaut d’être suffisant, le dispositif actuel est utile, comme est nécessaire le renouvellement des générations.
Ce renouvellement nécessaire, un Réunionnais illustre l’avait de bien belle manière décrit y a plus d’un siècle en traduisant le chant VI de l’Iliade (chacun a bien sûr reconnu dans ce traducteur Leconte de Lisle) :
« La génération des hommes est semblable à celle des feuilles. Le vent répand les feuilles sur la terre, et la forêt germe et en produit de nouvelles, et le temps du printemps arrive ».

Rencontres Internationales des Villes Francophones de l’Océan Indien

Rencontres Internationales des Villes Francophones de l’Océan Indien

Les 14, 15 et 16 octobre ont eu lieu les rencontres internationales des villes francophones de l’Océan Indien.
Pendant ces trois jours, de nombreux maires de villes d’Afrique, de Maurice, des Comores ou encore de Mayotte ont participé à une série de conférences, organisées sous l’égide de l’Association internationale des maires francophones (Aimf). A l’Hôtel de Ville de Saint-Denis, lundi 14, c’est la thématique de l’eau qui a été retenue pour cette première journée. La SAPHIR a présenté à cette occasion le projet de filière des acteurs de l’Eau, nommée FILIAO.
Qu’est-ce que FILIAO ?
Depuis deux ans, de nombreux acteurs, qui interviennent de manière directe ou indirecte dans le domaine de l’eau, partagent leurs expériences et leur souhait d’innover dans ce domaine d’activité en constante évolution. Dans ce cadre, l’idée de se regrouper au sein d’une association de préfiguration pouvant déboucher sur un futur « cluster » s’est imposée d’elle-même.
Au bout de deux ans, voilà que les choses se concrétisent : FILIAO, la filière des acteurs de l’eau à la Réunion, a vu le jour en octobre, portée par 7 membres fondateurs (SAPHIR, CISE, BRGM, WATER-TECHNOLOGY, ARDA, TAIREO ENVIRONNEMENT et l’Office international de l’eau). Elle se fixe trois objectifs prioritaires :
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  • offrir un réseau d’échange et une plateforme de réflexion aux acteurs de l’eau.
  • permettre une mutualisation des compétences et des ressources affectées à des projets d’intérêt commun en R&D.
  • contribuer au développement des savoir-faire locaux, en particulier dans une perspective de coopération régionale
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    FILIAO s’inscrit dans une vision partagée de la problématique de l’eau sur le territoire. Elle entend promouvoir les initiatives qui présentent un caractère innovant, partenarial et durable, et qui contribuent, par leur impact, à une utilisation raisonnée et écoresponsable de la ressource en eau. C’est ainsi que trois projets ont été labellisés par FILIAO.
    1/ Hydropolis : il s’agit d’un jeu numérique, accessible par Internet, destiné à sensibiliser les habitants aux situations de crise dans le domaine de l’eau à La Réunion (cyclone, sécheresse, pollution, etc.).
    2/ L’annuaire des acteurs de l’eau : il vise à recenser les entreprises et organismes socioprofessionnels et à établir la cartographie des compétences disponibles au sein de la filière. Il permettra de centraliser l’information en un point unique afin d’en faciliter la consultation par les utilisateurs.
    3/ IMAHO : ce projet, issu de la SAPHIR, a pour but la création d’un Institut des Métiers de l’Aménagement Hydroagricole de l’Océan indien et s’oriente plus particulièrement sur les thèmes de l’agriculture et de la valorisation de ses productions.
    Il a pour but d’améliorer et de diffuser les compétences spécifiques à l’irrigation dans le contexte insulaire réunionnais. Il portera notamment sur le développement de la recherche pour l’optimisation des équipements et des techniques d’irrigation de manière à :
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  • optimiser les rendements des parcelles et donc les revenus des agriculteurs
  • améliorer les moyens et les structures nécessaires au développement de l’activité agricole dans les hauts de l’île.
  • servir de support et de conseil pour le secteur professionnel en activité notamment sur les domaines de technicité avancée (gestion automatisée, programmation…)
  • servir de structure “d’application terrain” pour les cursus de formation des jeunes et pour développer un pôle tourné vers l’insertion dans les métiers de l’agriculture.
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    Quel est le bilan de ces journées ?
    Ces journées très suivies ont été marquées par de nombreuses interventions de grande qualité. Signalons en particulier une série d’exposés de la Ville de Saint-Denis sur le Small Business Act et sur l’économie sociale et solidaire, de même qu’une intervention enthousiasmante des élus d’Anjouan sur les difficultés rencontrées dans la mise en œuvre d’une politique tarifaire équitable. Enfin, le public a eu droit à une présentation des missions et du réseau de l’AFD dans l’Océan Indien par son Directeur Général à La Réunion (M. Marc DUBERNET). Il reste maintenant à donner une suite concrète à cette initiative. L’ensemble des membres fondateurs de FILIAO s’y prépare. Quant à l’ambassadrice déléguée à la coopération régionale dans l’Océan indien (Mme Claudine LEDOUX), elle s’est montrée vivement intéressée par les perspectives débattues à cette occasion en faveur d’un accès équitable à l’eau dans l’Océan indien.

    Interconnexion Bras de Cilaos et Bras de la Plaine : les travaux avancent !

    L’interconnexion des périmètres irrigués du Sud (périmètres irrigués du Bras de la Plaine et du Bras de Cilaos) est un projet majeur qui s’inscrit dans la continuité des aménagements hydrauliques structurants menés par le Département depuis près de quarante ans pour l’aménagement et le développement économique du territoire.
    Cette interconnexion comme celle qui sera réalisée entre le périmètre irrigué du Bras de Cilaos et le périmètre ILO vient consacrer le principe directeur de la gestion globale de l’eau à savoir l’interconnexion des réseaux pour une satisfaction optimale et sécurisée des usages au moyen d’une utilisation combinée des ressources superficielles et souterraines.
    Il s’agit en l’occurrence d’interconnecter les périmètres du Bras de la Plaine et du Bras de Cilaos et au travers de l’interconnexion de ce dernier avec le périmètre irrigué de l’Ouest de procéder finalement à l’interconnexion des réseaux et des ressources de ces trois grands périmètres irrigués.
    Les travaux d’interconnexion entre les périmètres irrigués de Bras de la Plaine et de Bras de Cilaos ont pour objectif de sécuriser l’approvisionnement en eau des deux périmètres grâce à la mutualisation des ressources.
    L’opération est découpée en deux phases :
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  • La phase A prévoit un débit de transfert bilatéral de 200 litres/seconde entre les réservoirs de tête de chacun des périmètres ;
  • La phase B prévoit une augmentation de ce débit de transfert à litres/seconde avec un renforcement partiel des conduites et une augmentation de la capacité des stations de pompages.
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    Ainsi, 6500 m de canalisation vont être posées pour relier le secteur de Bois d’Olives (côté Saint-Pierre) au secteur de Plateau Goyaves (côté Saint-Louis). Les tronçons auront 14 m de longueur en acier de diamètre 800 mm.

    La photo ci-dessous présente une vue d’ensemble sur le franchissement de la rivière Saint-Etienne via la pose d’une canalisation enfouie à plus de 10 mètres de profondeur dans le lit de la rivière au sein d’un sarcophage béton.

    Un dispositif unique à La Réunion permettra de curer l’intérieur de la canalisation par le biais d’un bouchon en mousse polyuréthane et ainsi d’éliminer les matières qui se déposeront à l’intérieur du siphon.

    Parallèlement, une station de pompage est en cours de construction sur le site du réservoir Ligne Paradis. Elle permettra d’une part de refouler l’eau jusqu’au réservoir de Dassy en temps de crise et d’autre part, de produire de l’électricité en temps normal à partir de l’eau en provenance de Dassy.

    Montant de la première phase des travaux : environ 20 millions d’euros.
    Fin prévisionnelle de la première phase : février 2014.
    Fin prévisionnelle de la période de marche industrielle: mai 2014.

    Accueil du G.I.S (Groupe Innovation Sociale)

    La SAPHIR a accueilli le 21 mai 2013 les représentants de l’ARVISE, de l’ARACT et de l’ANACT (associations qui luttent pour l’amélioration des conditions de travail).
    Pour la seconde fois, ces partenaires ont mis sur pied un groupe d’innovation sociale composé de plusieurs entreprises locales.

    Ce groupe de travail a prévu de se réunir une fois par mois, jusqu’en septembre 2013, pour débattre de l’actualité sociale et partager leur expérience sur divers thèmes : risques psychosociaux, égalité professionnelle, pénibilité, etc.

    La SAPHIR, qui participe à ce groupe, a présenté aux acteurs économiques présents le dispositif “contrat de génération”.

    La particularité de ce groupe est sa mixité car les entreprises participantes sont composées de deux interlocuteurs (un représentant du personnel et un représentant de l’employeur). Cette mixité permet un meilleur échange et contribue à améliorer le dialogue social puisque les personnes se retrouvent dans un contexte différent.